"Si nous n'avons moins commenté la situation, c'est parce que, jusque-là, les choses se sont passées dans le cadre défini par la Constitution", a-t-il expliqué au sujet de la situation en Algérie dans une interview à Jeune Afrique parue dans sa dernière édition (du 16 au 22 juin, numéro 3049).
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Il a soutenu, dans ce cadre, que "tout le monde doit travailler à trouver un compromis".
"La volonté du changement exprimée par le peuple est évidente, mais il faut éviter le chaos", a-t-il ajouté.