A cette occasion, la Fatiha a été récitée à la mémoire du défunt et une gerbe de fleurs déposée sur sa tombe.
Dans une brève allocution, l'auteur et historien, Mohamed Abbas, a rappelé que "le seul rêve du défunt était de sauver l'Algérie des problèmes qui la guettaient", ajoutant que "ce rêve est un serment dont doivent d'acquitter toutes les générations, notamment celle de l'indépendance".
Le président Mohamed Boudiaf a été assassiné le 29 juin 1992 à la maison de la culture d'Annaba, alors qu'il prononçait un discours à la nation.